The Last of Us est le dernier jeu en date du studio Naughty Dog, réputé pour son travail sur des séries comme Crash Bandicoot ou Uncharted. Depuis sa sortie le 14 juin 2013 sur PS3, le jeu a su convaincre le public et les critiques pour ses nombreuses qualités, et compte plusieurs centaines de récompenses et de distinctions. Pour autant, un grand nombre de possesseurs de PS4 n’a pas pu goûter à ce jeu d’exception suite à sa sortie initiale. C’est pour offrir à ces joueurs la possibilité de se rattraper que Naughty Dog a décidé de sortir The Last of Us : Remastered sur PS4.
(Durant ce test, nous prendrons le point de vue de quelqu’un découvrant The Last of Us pour la première fois sur PS4. Il y sera tout de même fait mention des améliorations apportées par rapport à la version PS3 du jeu et de son contenu additionnel)
La survie du plus apte
“Ce n’est pas le plus fort de l’espèce qui survit, ni le plus intelligent. C’est celui qui sait le mieux s’adapter au changement.” La célèbre citation de Darwin n’a jamais été aussi bien appliquée que dans le futur dépeint par Naughty Dog dans The Last of Us.
Nous sommes en 2033, 20 ans après le début d’une pandémie mondiale ayant pour l’origine le Cordyceps, champignon contagieux capable d’altérer le comportement des êtres humains et de les transformer en monstres violents. Tandis que l’humanité est contrainte de vivre enfermée dans des zones de quarantaine sous l’autorité de l’armée, des groupes de résistants émergent et tentent d’exercer leur influence sur la population. Parmi eux se trouvent les Lucioles, groupe animé par une volonté de trouver un remède à la pandémie et sauver l’espèce humaine. Les uns comme les autres essaient donc de survivre tant bien que mal dans ce monde désolé, entre ruines d’un temps passé et hordes d’infectés hostiles.
Alors que Naughty Dog nous avait habitué à des jeux hauts en couleur, The Last of Us est en rupture totale avec les précédentes productions du studio. Exit donc les animaux farfelus ou les explorateurs un peu niais, pour laisser place à Joel, cinquantenaire trafiquant d’armes et autres tickets de rationnements dans la zone surveillée de Boston. Alors que ce dernier semblait avoir trouvé une routine viable dans ce futur apocalyptique, il se trouve contraint par les la force des choses à escorter Ellie, une jeune adolescente de 14 ans, en dehors de la ville pour rejoindre un groupe de Lucioles. Opposé à l’idée de remplir cette mission à l’origine, Joel se rendra vite à l’évidence en découvrant ce qui rend cette jeune fille si spéciale. Bien évidemment, tout ne se déroulera pas comme prévu, et nos deux protagonistes vont devoir tant bien que mal échapper à ceux qui leur barreront la route… qu’ils soient humains, ou infectés.
The Last of Us, c’est l’histoire de ce duo que rien ne rapproche de prime abord, dans leur quête de réponses et de survie.
Tourisme et travaux manuels… enfin presque…
The Last of Us n’est ni un survival-horror, ni un jeu d’action : Naughty Dog le décrit d’ailleurs comme étant à mi-chemin entre les deux et le présente comme un « Survival-Action ». En réalité, le jeu va bien plus loin que cette simple qualification, en offrant une expérience encore inédite dans le jeu-vidéo.
Le périple de nos deux héros les mènera dans de très nombreux lieux, entre villes dévastées, écoles abandonnées, ou encore forêts verdoyantes. Afin de se frayer un chemin vers leur destination, Joel et Ellie devront arpenter ces différents paysages et surpasser les obstacles se trouvant sur leur chemin. Cela donnera assez souvent lieu à quelques petites énigmes, nécessitant généralement de déplacer quelques objets afin d’atteindre des passages éloignés ou en hauteur. Rien de bien méchant cependant, mais il ne s’agit clairement pas du coeur du jeu. Le monde ayant été en ravages depuis plus d’une vingtaine d’années, les ressources indispensables à la survie de chacun se font donc très rares. C’est pourquoi il faudra passer énormément de temps à explorer l’environnement à la recherche d’outils et de nourriture. La recherche de ressources remplira donc une grande partie de votre aventure, mais rassurez-vous, cela est bien moins ennuyeux que l’on pourrait le croire : la direction artistique est si exemplaire que chaque endroit est une oeuvre d’art. Explorer et découvrir chaque recoin des environnements du jeu se fait avec plaisir tant chaque lieu possède une âme propre. Vous ne pourrez rester de marbre en pillant une chambre d’enfant abandonnée. Après avoir récolté suffisamment d’éléments, vous pourrez les utiliser pour fabriquer différents objets : c’est le système du craft. En fonction de ce que vous aurez pu récolter, vous pourrez par exemple fabriquer vos propres bandages pour vous soigner en cas de blessure, mais aussi des armes telles que des surins ou des fumigènes. Les objets que vous fabriquerez vous seront d’une très grande utilité afin de combattre vos ennemis ou d’échapper aux infectés. Le système de craft est heureusement très intuitif et bien ficelé, et permet donc au joueur une certaine fluidité dans le gameplay. On a réellement apprécié la navigation dans les menus et la gestion de l’équipement.
Il n’y a pas de bons ou de mauvais choix : il y a les vôtres
Le monde de 2033 regorge de brigands et autres survivants déterminés à s’en sortir par tous les moyens, sans parler de l’armée, dont la mission est de s’assurer que la population reste dans leurs zones de quarantaine afin de prévenir la dispersion du Cordyceps. Les diverses rencontres avec ces différents groupes vous demanderont donc de vous adapter à chaque situation, en tentant au choix la discretion ou la brutalité pour en venir à bout. Car The Last of Us ne vous impose jamais le combat : c’est au joueur de décider de l’approche avec laquelle il souhaitera éliminer ses adversaires. En se cachant derrière des meubles et en attrapant un ennemi par l’arrière, Joel peut ainsi le tenir en otage et s’en servir de bouclier humain. Les coéquipiers de notre victime hésiteront de la sorte bien plus longtemps avant de vous attaquer, libre à vous de leur tirer dessus ou d’achever votre otage avant de retourner vous cacher. Le joueur est entièrement maître de ses actions et devra adapter ses choix à chaque nouvelle situation pour garantir sa survie et la protection d’Ellie. Pour faciliter la tâche du joueur, Naughty Dog a introduit le mode écoute. Par la simple pression du bouton R1, Joel pourra concentrer son ouïe afin de détecter la présence de ses ennemis grâce à leur bruit. Dans les faits, il est ainsi possible de voir à travers les murs et les objets pour anticiper leurs mouvements et ainsi organiser sa stratégie.
Mais attention, les êtres humains ne seront pas les seules menaces dans ce monde hostile. Les victimes du cordyceps, que l’on appelle les infectés, pourront être rencontrés à différentes reprises. Ces derniers ne manqueront pas de venir vous courir après et tenter de vous mordre : le mode de transmission principal de la pandémie. Il existe différents types d’infectés en fonction de la durée depuis laquelle ils ont été eux-mêmes contaminés par le champignon corcyceps. Tandis que les plus « jeunes » infectés possèdent toujours une apparence et des caractéristiques quasi humaines, d’autres, comme les redoutables « claqueurs », ne possèdent plus que le sens de l’ouïe. Contrairement aux ennemis doués d’intelligence, il est généralement conseillé de ne jamais les attaquer de front et de prendre la fuite dès que possible. En effet, dès lors qu’un claqueur vous attrape, c’est le game over immédiat. Les rencontres avec les infectés donnent donc lieu à des séquences particulièrement stressantes, qui mettront à rude épreuve votre patience et votre prudence. Une alternative très sympathiques aux altercations avec l’armée ou des groupes de résistants.
Joie de vivre et bonne humeur !
Futur alternatif post-apocalyptique, villes quasi désertes dans lesquelles la nature à repris le dessus, zombies qui réagissent grâce à leur ouïe et non pas à leur vue… The Last of Us est ni la première, ni la dernière oeuvre de fiction à utiliser ce genre d’éléments scénaristiques. La force du jeu est d’utiliser tous cela de façon cohérente et intelligente, pour créer une histoire captivante soutenue par un gameplay accrocheur. Bien que l’on puisse noter une certaine redondance dans la structure du jeu, on ne peut nier sa capacité à nous en faire voir de toutes les couleurs. Au final, on se retrouve avec un patchwork d’expériences qui se renouvelle peu, mais qui a le mérite d’être exhaustif, bien équilibré, et surtout cohérent avec les faits relatés. Les seuls véritables reproches que l’on peut faire au jeu concernent sa difficulté : ne cherchez pas de challenge dans le mode normal de The Last of Us, puisqu’il n’y en a absolument pas. Le jeu devient beaucoup plus intéressant dès lors que l’on joue en mode difficile, pour un sentiment d’immersion décuplé. Les plus braves pourront même s’essayer au mode réaliste, à l’origine vendu en tant que DLC pour la version PS3. Ce mode, comme son nom l’indique, vous place dans la peau de Joel de la façon la plus fidèle à la réalité qu’il soit : exit donc le mode écoute et les munitions dissimulées un peu n’importe où sur la map, vous serez aussi vulnérable que vos ennemis, et plus que jamais immergés dans l’intensité du jeu.
Toutes ces séquences sont bien entendu inscrites dans une progression cohérente dans le scénario du jeu. Nos deux comparses qui ne s’apprécient guère au début du jeu, vont bien entendu finir par se rapprocher petit à petit. En faisant la rencontre d’autres survivants et à force de partager des moments difficiles, le duo Joel / Ellie deviendra plus soudé que jamais. L’évolution des relations entre les deux protagonistes est véritablement au coeur de l’intrigue, et donne lieu à des séquences particulièrement poignantes. Pourtant, il reste assez difficile de véritablement se reconnaitre en ces deux personnages : leur passé nous est quasiment inconnu, et leurs choix moraux sont parfois assez difficiles à justifier sans contexte. Alors que le jeu fait tout pour vous mettre dans la peau du personnage pendant les séquences de jeu, on a plutôt l’impression d’être un spectateur lors des cinématique et des dialogues. Un contraste qui pourra destabiliser certains joueurs, mais qui ne remet pas en cause la qualité du scénario et la solidité de la narration de The Last of Us. Préparez-vous à vivre une douzaine d’heures de jeu absolument inoubliable.
Alors, next-gen ou pas next-gen ?
Comment parler de The Last of Us sans mentionner sa réalisation époustouflante ? Déjà impressionnants sur PS3, les graphismes du jeu bénéficient d’une nouvelle jeunesse sur PS4 avec notamment un passage à une résolution de 1080p : les textures sont plus nettes que jamais, et les effets de lumière n’en sont que plus saisissants. Le tout est soutenu par une fluidité exceptionnelle en 60 images par seconde de façon quasi constante. Certains auront beau dire que la résolution et le taux de rafraichissement ne sont que des chiffres, dans les faits, le résultat est sans appel : The Last of Us Remastered propose une véritable expérience next-gen (sans pour autant rivaliser avec le rendu de Killzone Shadowfall ou d’InFAMOUS Second Son). Quant au son et aux bruitages, l’équipe de développement a su réaliser un travail excellent en tous points. La bande originale accompagne parfaitement le joueur au fil de sa progression, et parvient à rendre chaque moment encore plus intense. Les bruitages sont plus réalistes que jamais, et remplissent parfaitement leur rôle dans le jeu. Qui aurait cru qu’un simple cliquetis d’un claqueur pourrait être aussi stressant ? Enfin, les doublages originaux sont tout simplement parfaits, grâce à un jeu des acteurs convaincant (La VF est convenable, mais reste nettement un cran en dessous). Comme d’habitude, Naughty Dog permet de configurer avec précision le son du jeu, afin d’offrir le meilleur son possible pour chaque type d’installation sonore.
Left Behind
Après avoir terminé l’aventure principale et vous être remis de vos émotions, vous pourrez vous jeter sur le DLC solo Left Behind, que Naughty Dog a eu la gentillesse d’inclure dans cette édition remasterisée de The Last of Us. D’une durée d’environ 2h, il vient éclairer certaines zones d’ombre du scénario principal en se concentrant principalement sur le personnage d’Ellie.
Dans de DLC, Naughty Dog a décidé de ne raconter non pas une mais deux histoires autour du personnage d’Ellie. Mais plutôt que de le faire de façon successive, ces deux histoires vont évoluer simultanément, en passant de l’une à l’autre après chaque moment fort. Une choix qui peut sembler surprenant, mais qui se révèle finalement tout a fait pertinent au fur et à mesure que l’on avance. Nous n’en dirons pas plus pour ne pas gâcher la surprise, mais préparez-vous à être ému en retraçant des passages difficiles de la vie de notre petite protégée.
Concernant le gameplay de ce DLC, Ellie se contrôle exactement comme Joel, et on retrouve toutes les mécaniques présentes dans l’aventure principale : infiltration, gunfights, petites énigmes… Pour autant, le rythme du DLC Left Behind reste moins intense, pour laisser une plus grande place aux cinématiques et aux dialogues entre les personnages. Ne vous attendez donc pas à beaucoup d’action. Car bien que téméraire et courageuse, Ellie n’en reste pas moins bien plus vulnérable qu’un grand gaillard barbu comme Joel.
Globalement, Left Behind est un très bon complément à The Last of Us, agréable à jouer et convaincant en terme de scénario. La seule chose que l’on pourrait lui reprocher est de ne comprendre que trop peu de différences avec le jeu de base au niveau du gameplay. Ce DLC souffre ainsi des mêmes petits défauts, notamment au niveau de sa difficulté, bien trop faible en mode normal.
Multijoueur – Factions
Pour couronner le tout, The Last of Us s’offre même le luxe de proposer un mode multijoueur compétitif. Intitulé « Factions », il propose 3 modes différents : Raid d’approvisionnement, Survie et Interrogation. Le premier n’est rien d’autre que le classique match à mort par équipe, tandis que le deuxième offre une variante de ce mode sans possibilité de ressusciter après avoir été tué. Le troisième mode est quant à lui un peu plus original : dans un premier temps, chaque équipe devra immobiliser leurs adversaires afin de les interroger. Après un certain nombre d’interrogatoires, l’emplacement du coffre de l’équipe adverse apparaîtra à l’écran. C’est l’équipe qui ouvrira le coffre de ses adversaires qui remportera la partie. Une alternative intéressante aux tueries incitées par les deux premiers modes, qui se révèle très fun à jouer.
Bien que sur le papier, tout cela n’ait pas l’air extraordinaire à première vue, le potentiel de ce mode multijoueur réside surtout dans la présence des mécaniques introduites par le mode solo : ainsi, vous pourrez utiliser le mode écoute, et même crafter différents objets en cours de partie ! Des petits ajouts qui viennent rendre ce mode captivant et assez unique par rapport aux ténors du jeu multijoueur.
Naughty Dog a eu la bonne idée d’inscrire ce mode multijoueur dans le contexte de l’aventure principale. Plutôt que de s’affronter bêtement et sans raison, chaque joueur incarnera donc au choix un membre des Lucioles ou des Chasseurs, deux groupes de survivants opposés par leurs motivations. L’objectif étant de faire grandir son camp et de survivre 12 semaines, chaque partie jouée équivaudra à une journée : il vous faudra non seulement être le meilleur possible, mais aussi et surtout remplir différents objectifs annexes pour progresser. En effet, en fonction de vos performances, le nombre de survivants de votre camp (qui démarre à 10) pourra soit augmenter, soit diminuer plus ou moins fortement. Bien sûr, il n’est absolument pas obligatoire de considérer cet aspect, et chacun est libre de jouer autant de parties multijoueur qu’il voudra sans se soucier de son clan. Il n’empêche que le tout est bien pensé, et même assez motivant : des récompenses et des accessoires cosmétiques pour votre personnage pourront être débloqués avec le temps. Pour renforcer encore plus l’immersion dans ce mode, les survivants de votre clan porteront même les noms de vos amis Facebook, si toutefois vous avez accepté de vous connecter avec votre compte.
Dans les faits, ce mode multijoueur se révèle très satisfaisant. Alors que son absence n’aurait pas manqué, sa présence se révèle être une très bonne surprise, et vient rallonger de très nombreuses heures de fun la durée de vie de The Last of Us : Remastered. Si on oublie les temps de chargements assez longs, on aurait juste aimé que les parties soient un peu plus équilibrées, afin d’éviter de se retrouver contre une horde de joueurs expérimentés dès le début.
Pour information, cette édition PS4 est livrée avec les deux packs de maps payantes proposés par Naughty Dog pour la version PS3.
Verdict – 9/10
Un an après sa sortie sur PS3, The Last of Us a-t’il sa place dans votre ludothèque PS4 avec cette édition remasterisée ? Il y a de fortes chances ! Rien qu’en considérant l’aventure principale comme un jeu à part entière, The Last of Us fait partie des oeuvres les plus marquantes de l’histoire du jeu vidéo. Ajoutez à cela un mode multijoueur, des graphismes remis au goût du jour et la présence de tous les DLC le tout sur un même Blu-Ray, et vous obtenez un cocktail intense, à consommer sans modération. Si vous n’avez jamais touché au jeu sur PS3, The Last of Us : Remastered sur PS4 est l’occasion rêvée pour découvrir l’histoire de Joel et d’Ellie. Pour les autres, tout dépendra de votre sensibilité aux graphismes et de votre intérêt pour le contenu téléchargeable.
Gerard
21 août 2014 at 22 h 53 minC’est quand meme domage pour un site de jeux video de publié des test de jeux bien apres leur sortie ce qui en pert d’interet par rapport au autres sites…
Thomas
22 août 2014 at 9 h 28 minCa me semble plutôt normal pour un « blog » est non un site de jeux vidéo de ne pas avoir les jeux avant leur sorties comme les sites de la presse internet du jeu vidéo… Les sites de jeux vidéo se voient envoyés les jeux par les éditeurs gratuitement. Les bloggueurs, eux, achètent bien souvent leurs propres jeux au moment de la sortie.
VaultMan
22 août 2014 at 18 h 45 minJ’aurais pas mieux dit. Et je suis d’accord aussi avec mr_anzai d’avoir préféré un testeur qui n’a pas eu l’occasion de l’utiliser sur ps3, pour avoir un avis objectif.
Pour répondre à gérard dont je comprend la finalité de la remarque, il faudrait que ps4france puisse être considéré comme un magazine spécifique ps4 de jeux vidéos et avoir les mêmes avantages que les autres, à savoir de recevoir en avance un exemplaire pour le tester avant sortie.
mr_anzai
22 août 2014 at 12 h 42 minIl arrive que l’on n’ait pas le jeu en temps et en heure. Ce fût le cas pour TLOU, d’autant qu’on voulait que le testeur n’ait jamais joué à l’original sur PS3. D’où ce retard 😉
maitre_capello
22 août 2014 at 13 h 30 minc’est quand même dommage de poster des commentaires avec autant de fautes d’orthographe
Thomas
22 août 2014 at 9 h 26 minSuper test Arekuso, je découvre par la même ton blog et je me régal !
arekuso
22 août 2014 at 18 h 14 minMerci ça fait super plaisir ! 🙂 Pour le blog, je vais le redémarrer en septembre, j’ai pas eu la foi de m’y remettre malheureusement.
ThePapyGeek
22 août 2014 at 19 h 44 minExcellent test. Ayant fini ce jeu sur ma PS4 je susi totalement d’accord avec ce qui est dit plus haut. Essayez le mode difficile vous allez adorer !