En étant le cinquième opus majeur et le premier entièrement taillé pour la nouvelle génération, Assassin’s Creed Unity s’est fait attendre avec un riche enthousiasme mais aussi de fortes polémiques. Ambitieux, car voulant renouer avec les origines de la série, le projet débuté secrètement en 2010 par Ubisoft Montréal nous concerne avant tout pour son cadre historique. Bienvenue dans la fameuse révolution française de 1789.
Présenter l’intrigue d’un Assassin’s Creed sans dévoiler un minimum d’éléments du synopsis est une tâche assez ardue. Il est à la limite de l’impossible d’y échapper de nos jours sur internet entre les sites et même les trailers officiels d’Ubisoft. L’histoire est pourtant un élément qui a toujours été au cœur de cette franchise, il serait donc dommage d’en savoir déjà un peu trop. C’est pourquoi, par respect envers ceux qui aiment toujours la découverte, cette critique est garantie sans spoil (de même, certaines images sont censurées).
QU’ILS MANGENT DE LA BRIOCHE !
Petite piqûre de rappel pour les non-initiés : Assassin’s Creed (AC) met en scène l’affrontement entre l’Ordre des Templiers et la confrérie des Assassins. Avec des intentions de « paix » pouvant paraître semblables, ces factions s’opposent totalement dans leurs façons d’agir. L’un, en quête de pouvoir, est radical et manipulateur lorsque l’autre ne prétend que réclamer la justice. Pour conter cet éternel duel, la licence s’est toujours fendue d’une alternance entre séquences du présent puis du passé. Ainsi, depuis AC Liberation et AC IV Black Flag, les missions modernes nous emmenaient dans la peau d’employés anonymes d’Abstergo. Cette société, appartenant aux Templiers et dominant de nombreux marchés, exploite en effet la mémoire génétique grâce à sa machine nommée Animus. Si on était habitué à ce rythme, Assassin’s Creed Unity prend le risque de privilégier l’Histoire avec un grand H. Il devient donc l’opus le moins déroutant pour les nouveaux arrivants. Pas d’objectifs à proprement parler, seule une courte cinématique vous présentera le cadre actuel. Réquisitionné par les assassins, vous êtes projeté dans la simulation de vie de notre nouveau protagoniste.
Né à Versailles, Arno Victor Dorian est un homme plutôt charismatique au caractère enfantin qui n’est pas sans rappeler la jeunesse du célèbre Ezio d’Assassin’s Creed II. Poli, joueur et souriant, le franco-autrichien voit (évidemment) deux tragiques événements le remettre en question. En quête de rédemption, il va faire la rencontre d’un certain Bellec, qui profitera de son agilité et de ses sens pour le former au combat. À présent taillé pour le danger grâce à son mentor, Arno va demander de l’aide à la confrérie qui décidera par la suite de l’accueillir. Globalement meilleur que son prédécesseur, le scénario Assassin’s Creed Unity est assez entraînant et possède surtout des personnages plus emblématiques voire attachants. Le plot central est d’ailleurs également mené par une romance entre Élise, demi-sœur toujours considérée comme amie d’enfance, et Arno. S’il n’est pas le premier héros de la série à être amoureux, la relation est ici encore plus mise en valeur. Les 12 séquences se suivent avec plaisir sans pour autant rester dans les annales, et même s’il n’y a pas de quoi crier au génie une nouvelle fois, il est vrai qu’on gagne en crédibilité. Le nouveau moteur graphique fait que les expressions du visage sont plus réalistes et les doublages sont de qualité, même en VF ! En effet, immersion oblige, on a été amené à sélectionner la langue française qui -avec surprise- se trouve plus convaincante que la VO et ses accents britannique. N’oublions pas la bande-son qui, comme tous les anciens AC, est une perle musicale même si elle n’est pas toujours assez mise en avant.
I ♥ PARIS (OU PRESQUE)
On ne cesse de le dire (ou plutôt de le pester) : à chaque année, son Assassin’s Creed. Qu’on soit ravi ou outré par cette approche, il est tout simplement impensable d’en vouloir aux équipes d’Ubisoft d’un point de vue artistique. Chaque épisode ne cesse d’être surprenant dans son souci du détail et dans la richesse culturelle apportée. Une fois encore, ce AC Unity laisse rêveur avec le vieux Paris de la fin du XVIIIème siècle. La ville est grande, vivante, bluffante. En tant que parisien ça fait tout de même un choc de pouvoir s’y diriger et de voir à quel point sa capitale a pu changer en trois siècles ! Les quatre années de développement se sentent, avec une reproduction presque parfaite des plus grands lieux comme Notre-Dame, le château de Versailles, l’Hôtel de Ville, ou encore le jardin des Tuileries. La nouvelle génération de consoles aidant, le jeu est une sorte de livre d’histoire interactif qui nous permet réellement de vivre la France de l’époque. Certaines textures laissent à désirer et ne provoquent pas toujours une claque graphique, mais en général, on est face à un superbe environnement où la vue est imprenable sur les toits grâce à une énorme distance d’affichage. L’immersion est d’autant plus spectaculaire avec un nombre record de PNJ affichés à l’écran, qui ont ceci dit une intelligence assez douteuse. Paris est magique.
Éblouissant, Assassin’s Creed Unity pose aussi malheureusement ses limites techniques. Triste à dire mais on est sans surprise face à un titre dont on nous avait sans doute promis mieux. Qu’il s’agisse de la version PS4 ou des autres supports, le titre affiche un framerate digne d’AC III sur PS3. Des ralentissements mais aussi plusieurs bugs de collision ou de réseau sont à déplorer. Si on disait plus haut que le nombre de PNJ affiché est incroyable, nombreux sont les personnages qui apparaissent soudainement à l’écran… À cela s’ajoute des temps de chargement assez conséquents. Oui, Ubisoft corrigera tout au travers de mises à jour. Oui, il n’est que question de problèmes temporaires. Mais une fois encore on a un goût d’inachevé, une volonté d’en vouloir trop faire dans un délai imparti, quelque chose de nocif pour la qualité du titre. Attention, pas de quoi gâcher la superbe ambiance pour autant. Mais on ne peut nier la petite déception.
UN HOMME NOUVEAU
Qui dit assassin, dit cascadeur enragé. L’une des évolutions très appréciables de Unity est la refonte du système de parkour. Arno est désormais plus fluide dans ses mouvements avec une touche dédiée à la montée, une autre pour la descente. Déroutant au départ pour les connaisseurs, ces nouvelles commandes se révèlent être heureusement meilleures. Les équipes de développement ont expliqué ces changements du fait que Paris est à l’échelle 1 :1 (taille réelle). Les immeubles sont donc plus grands que dans les précédents AC et pour ne pas en être handicapé, Arno agit plus vite. On note tout de même toujours des imperfections, avec une impression que le personnage se retrouve « bloqué » en plein parcours. Maintes fois critiqués, les combats sont aussi désormais plus réalistes. Les ennemis ne sont plus statiques et n’hésiteront pas à vous attaquer ensemble même si vous leur tournez le dos, rendant les affrontements plus complexes et nous obligeant à privilégier la fuite. Justement, Assassin’s Creed Unity veut mettre en avant un élément qu’on pensait pourtant déjà fondamental : l’infiltration. L’assassin peut -enfin !- se mettre accroupi manuellement et lorsque vous êtes en mouvement, un fantôme représentera votre dernière position connue des gardes. Une idée terriblement efficace qui glorifie enfin l’aspect discrétion.
Un côté RPG fait son apparition avec une personnalisation plus poussée de la tenue de son personnage. Outre les couleurs et les vêtements déblocables des anciens assassins, on peut à présent choisir chaque pièce spécifique de son équipement. Et si on ne prend pas en compte l’aspect esthétique de la chose, cette fonctionnalité permet d’améliorer les caractéristiques de notre cher Arno. Cette touche d’identité pratique fait vraiment plaisir même si on peut arriver à finir le jeu… avec un masque de carnaval sur le visage. Notez également que même si les compétences se débloquaient progressivement dans les précédents opus, elles sont ici achetables contre une sorte de système de points d’expérience. On spécialise donc son assassin entre discrétion, corps à corps, santé et portée.
Les armes ne sont pas en reste avec une large sélection de lames, haches, lances, pistolets, fusils et compagnie. Là encore, certaines pourront augmenter vos dégâts et votre vitesse d’attaque afin d’agir plus efficacement. Cet Assassin’s Creed Unity introduit d’ailleurs la lame fantôme qui est un subtil mélange entre une arbalète et une sarbacane. Silencieuse et rapide, ce nouvel outil risque de vous sauver plus d’une fois la mise.
LONGUE VIE AU ROI À L’ASSASSIN
Comme chaque opus, AC Unity se voit doté d’un contenu solo monstre et cette fois, plus varié. Première chose qui s’avère assez jouissive, les assassinats sont maintenant moins dirigistes. Plusieurs possibilités et opportunités s’offrent à vous pour réaliser votre mission, donnant un côté « bac à sable » au joueur. Un seul et même objectif peut donc s’effectuer d’une dizaine de façons, ce qui rend même les actions secondaires plus plaisantes (pour ne pas dire moins lourdes) à effectuer. Si le parcours principal reste plus au moins classique dans la forme, Assassin’s Creed Unity introduit des « récits parisiens ». Et venons-en surtout à la nouveauté que sont les enquêtes. Oublions les meurtres et autres espionnages, le principe ici est de résoudre des crimes en analysant des pièces à conviction via votre vision d’aigle. Le concept est frais et très sympathique, même si au final on ne se retrouve pas vraiment devant des affaires difficiles au point de vous faire tourner la tête. Il faudra plus voir du côté des énigmes de Nostradamus qui sont plus complexes, et vous obligent à chercher des signes dans toute la ville. Bref, vous présenter tout ce que Unity propose serait beaucoup trop long mais une chose est sûre, la durée de vie de cet opus s’aligne avec les autres en restant certainement plus qu’honnête. Les chasseurs de trophées ou simplement du 100% devraient d’ailleurs se régaler avec, comme d’habitude, le nombre d’objets à ramasser tels que les coffres ou points de synchronisation.
PLUS ON EST DE FOUS, PLUS ON GUILLOTINE
Terminés les matchs à mort et son profil atteignant le niveau 99 (ne me dites pas que vous l’avez fait), le multijoueur d’Assassin’s Creed Unity bénéficie d’une refonte totale et bien pensée. Après tout, le principe fondateur de cet opus est UNITY soit L’UNITÉ. Cette fois-ci directement intégré dans le solo et non à part entière, la coopération permet jusqu’à 4 joueurs de se rejoindre dans une partie pour quelques activités inédites. Les classiques assassinats sont présents mais le fait de les effectuer en équipe donne une nouvelle manière d’aborder les objectifs. Inutile de dire que la stratégie reste maître, d’autant plus qu’une autre partie des missions est concentrée sur des vols à effectuer sans se faire repérer. On apprécie aussi la possibilité d’explorer librement la carte à plusieurs, ce qui permet de chercher tous les trésors en -charmante ?– compagnie. Si globalement le multijoueur reste un peu limité une fois toutes les tâches accomplies, on ne peut qu’approuver milles fois ce renouveau qui laisse place à de possibles fous rire. Et on espère que cela sera encore plus exploité par la suite.
VERDICT : 8/10
Riche et complet à l’image de ses prédécesseurs, Assassin’s Creed Unity est un bon retour aux sources qui a le mérite de vouloir bouger les choses. Clairement plus une évolution qu’une révolution, le titre offre un brin de fraîcheur nécessaire pour une franchise annuelle. Si on reste extrêmement sur notre faim pour l’histoire, on apprécie le renouvellement du gameplay qui glorifie enfin la discrétion. Mais l’élément star de cet opus est sans aucun doute Paris, qui nous offre un des plus passionnants open-world jamais créés. Modélisé avec un souci du détail monstre, la ville est tout simplement bluffante et vivante avec son nombre record de PNJ. Quelle déception en revanche de faire face à de fâcheux (ou drôles ?) problèmes techniques ! Même s’ils seront réglés via des mises à jour ultérieures, ces bugs et ralentissements tendent encore une fois à penser qu’on est face à un produit non finalisé à temps. Fort heureusement, l’expérience n’en est pas pour autant dégradée. Personnaliser la tenue et les compétences de son assassin, puis l’envoyer en coopération dans des missions de type « bac à sable » restent de très bonnes nouveautés.
Marcu$
19 novembre 2014 at 18 h 37 minRien que voir cette carte du jeu, remplie à craquer de quêtes annexes, ça ne donne pas envie.
Ubisoft n’a décidément pas l’art de faire cela de manière subtile. Il faut toujours qu’ils fassent croire à un milliard de choses intéressantes (répétitives à souhait) à faire dans leurs jeux pour booster la durée de vie du jeu.
L’histoire de base, elle passe presque en second plan dans ce jeu, en même temps, ce n’est jamais qu’un AC de plus, donc il ne fallait pas s’attendre à mieux, mais pour une première tentative sur PS4-One, ce n’est pas très reluisant.
Gardez votre argent, il y a tellement de chouettes jeu à venir d’ici le 1er janvier, voir même après ! En attendant, faites vous plaisir avec GTA V ou Shadow of Mordor, deux jeux qui eux ne sont pas fini à la pisse.
Ubisoft, c’est strass et paillettes, rien de plus.
Silidrone
20 novembre 2014 at 0 h 31 minToujours les mêmes qui savent tout mieux que tout le monde hein? 😉
J’ai presque 20h de jeux dans les pattes et je n’ai passé mon temps que sur les missions principales, et déjà sur l’ensemble de ces missions je n’ai pas DU TOUT d’impression de répétitivité (je précise car je sent que je vais avoir besoin de me justifier, que je ne suis pas un grand fan de la série donc je pense être suffisamment objectif, pas comme certains).
Et tu préfère peut être un jeux vide qui donne l’impression d’avoir du contenu? Ridicule…
Si tu préfère te faire plaisir sur GTAkikooFive vas y ma biche, en attendant comme beaucoup tu brasses du vent pendant que d’autres profitent!
Dowzer
19 novembre 2014 at 19 h 07 minVous venez de perdre un lecteur et votre crédibilité s’est totalement effondré. J’aurai honte à votre place de survendre un jeu pareil, c’est une escroquerie ce jeu, rien de nouveau apart un mode missions coop qui est tout aussi lassant, tjrs la même soupe sans compter une jouabilité atroce, frustrante et ce testeur nous dit que c’est une évolution, les combats sont incontrôlable et on ne ressent aucun plaisir. Infiltration? Oui essai si ton personnage veux bien réaliser ce que tu lui demande avec ta manette. Un AC de plus qui est… Bah comme tout ceux avant lui, alors ce qui aime mettre 50E pour un gameplay qui reste le même (voir pire) et qui aime encore et tjrs faire la même chose
alexizaki
19 novembre 2014 at 19 h 32 minIl y a une différence entre survendre un jeu et l’apprécier. Je respecte totalement ton point de vue si tu es déçu par cet opus et tu as tes arguments. Mais ce n’est pas une raison pour que tout le monde soit du même avis. Je n’ai jamais obligé quelqu’un d’acheter AC Unity. 😉
mr_anzai
19 novembre 2014 at 20 h 02 minVu que tu as acheté bien d’autres AC (AC II, AC III, Brotherhood, Revelations), tu es habitué aux douilles. Pourquoi te plaindre maintenant ? Les joueurs AC me font doucement rire, ils crient au scandale pour Unity alors que ça fait 7 ans qu’on leur sert la même soupe…
Le test ci dessus démontre que le jeu a des qualités, qui sont visiblement partagées par bon nombre de joueurs. Nous n’en faisons pas partie, très bien. Passons notre chemin.
VaultMan
19 novembre 2014 at 21 h 46 minOn peut ne pas toujours être d’accord avec les rédacteurs de ce site (dixit nos longues discussions métaphysiques sur la sociologie et la transcendance des jeux type LEGO…) mais je pense que, de mon point de vu, la déontologie,la rigueur et la modération de cette équipe peut difficilement être remise en cause. J’ai toujours eu l’impression que leurs tests et leurs news sont bien pondérées, et réflechies de façon collégiales, avant d’être publiées.
Joan Nicolici
19 novembre 2014 at 19 h 48 minS’il vous plait, si quelqu’un lit ce message, ne prenez pas au sérieux les gens qui vous disent que ce Assassin’s Creed est une arnaque, une escroquerie ou encore une carotte !
Ayant environ 15 heures de jeu sans l’avoir encore terminé, je pense pouvoir conseiller un minimum les gens qui hésitent à se le prendre, et bien prenez le !
Graphiquement beau la plupart du temps, certaines textures ne s’affichent pas directement, les
décors sont divinement reproduits et on reconnait parfaitement Notre-Dame ou encore Versailles parmi tous les lieux que l’on connait aujourd’hui dans Paris.
Les animations sont souples et les expressions faciales sont plutôt bien faites malgré quelques bugs de collisions dans la foule immense hurlant dans les rues ou parfois lors de l’escalade mais rien de grave ni même handicapant.
Pour la maniabilité, je ne comprends pas ce qu’on peut lui reprocher à moins d’avoir des saucisses à la place des doigts ou d’être de mauvaise foi, le personnage répond net et escalade parfaitement grâce au nouveau système de Free-Run: R2 et croix pour monter, R2 et rond pour descendre.
Les combats incontrôlables ? cela me fait rire, en effet il suffit d’avoir un minimum de concentration et de timing et on peut non seulement contrer les ennemis et riposter en un éclair, mais attention les combats sont plus durs qu’avant (et oui, fini les contres et les blocages à volonté) et on a droit a des ennemis parfois coriaces et même vicieux qui attaquent sans attendre leur tour et donc il faudra aussi user de la roulade, nouveau dans les AC, pour pouvoir esquiver au bon moment certains coups imparables.
La durée de vie est immense, le solo offre environ 15 heures tandis que les missions annexes (qui sont scénarisées) sont en grands nombres et offres des challenges plus ou moins corsés comme devoir protéger une personne afin qu’elle arrive sans encombres, voler un objet sans être vu, saboter telle ou telle chose, etc…
Alors au final on dira que c’est répétitif, et bien oui mais dans quel jeu d’infiltration/action nous avons 20 styles de gameplay différents ? Et oui tous les jeux finissent pas être répétitif et pour peu qu’on aime l’infiltration, ce jeu ne sera pas répétitif rapidement.
Malgré des bugs ici et là et parfois de grosses baisses de Framerate, le jeu est bon, doté d’un bon scénario, d’un gameplay légèrement plus difficile et d’une ville immense, on ne peut vraiment passer à côté si on aime la série des Assassin’s creed.
Cyril.A
19 novembre 2014 at 20 h 48 minBonsoir,
De passage simplement pour laisser mon avis fonder de ma propres expérience, sans rentrer dans les détails et bah j’adhère complètement, vingtaine d’heures au compteurs et je m’amuse toujours autant,
Si vous hésitez à l’achat de ce jeux, faites vous votre propres opinions 😉
Sur ceux, Bon jeu à tous ! N’oubliez pas que les jeux videos sont une source de plaisir & détente ! Peace 😉
VaultMan
19 novembre 2014 at 21 h 40 min« Si vous hésitez à l’achat de ce jeux, faites vous votre propres opinions 😉 »
Ben, j’aimerais savoir à quoi m’en tenir justement avant de l’acheter :o)
Silidrone
20 novembre 2014 at 0 h 23 minLe SharePlay est ton amis 🙂
VaultMan
20 novembre 2014 at 7 h 37 minPas faux. Mais il faut déja connaitre des personnes qui ont fait l’achat du jeux sut ps4
Cyril.A
20 novembre 2014 at 13 h 06 minJe ne pourrais faire mieux que le test ci-dessus, éh oui il y a aussi le SharePlay ! quoi que … j’ai jamais réussi à le faire fonctionner jusqu’à maintenant 😛 Certainement du à mon très haut débit 512 Kbps …
Takate
20 novembre 2014 at 10 h 38 min« Vous savez ce qui est pire qu’un Assassin’s Creed ? Un nouvel Assassin’s Creed qui ne change rien à ce qui n’allait pas dans le précédent. Unity est un pas en arrière dans une série qui faisait du sur place. » Kocobe du journal du gamer. Je vous invite à lire son test qui est pour moi très vrai et qui n’a pourtant pas « des patates à la place des doigts »
JackSurvivor
20 novembre 2014 at 11 h 51 minAttention Takate tu vas t’attirer les foudres des admin, un lecteur s’est essayé à la critique de ce test et s’est fait prendre en raillerie sur twitter notamment par l’un de ses rédacteur qui s’est montré assé irrespectueux et supérieur (walmouss) cela peu nuire au site et à ses partenaire. Bref, je trouve ce AC comme ses prédécesseurs ce qui fait qu’il est vite lassant si on a déjà joué aux autres. Ubi a perdu 6points en bourses à sa sortit et est seulement repris 8euro chez amazon pour un jeu sortit il y’a moins d’une semaine c’est assé rare pour le souligner. Entre watchdogs et ce AC Ubi doit se ressaisir!
mr_anzai
20 novembre 2014 at 11 h 56 minBien tenté… Sauf que tu es la même personne, et que la prochaine fois tu penseras à changer ton adresse IP avant de venir commenter sous un autre pseudo.
Merci pour ce moment 😉
JackSurvivor
20 novembre 2014 at 12 h 23 min??? Vous êtes tellement imbu de votre personne! Nous sommes co-loc Sherlock Holmes! Je ne manquerai pas de faire la publicité que vous méritez!