Lancé en 1987 par Commodore, l’ordinateur personnel Amiga 500, a été une petite révolution auprès des joueurs de l’époque. Trente ans après, le projet Armiga vous permet de découvrir ou revivre les expériences de l’Amiga 500, grâce à l’émulation hardware, … sans ressortir votre vieil Amiga jauni resté chez Tatie Danielle.
En 1987, alors que les joueurs de jeu vidéo s’extasient – à juste titre – sur des consoles 8 bits, la société Commodore lance un micro ordinateur mythique, l’Amiga 500. Ordinateur personnel en avance sur son temps, de génération 16 voire 32 bits, l’Amiga 500, va proposer aux joueurs des expériences avancées tout au long du début de la décennie 90. Précurseur dans la production musicale, gaming, et acteur de la bataille contre l’ex-géant Atari, l’Amiga 500 a laissé des souvenirs impérissables avec Shadow of the Beast, la série Speedball, Turrican, Kick Off, Lemmings, Sensible Soccer, Les Tuniques Bleues, les jeux Lucas, …. la liste pourrait être très longue.
Redécouvrir ces jeux rétro sur le matériel d’origine, 30 ans après, peut-être difficile, mais heureusement le projet Armiga est là.
Lancé en 2014 via une campagne IndieGogGo, l’Armiga vous propose une émulation hardware de l’Amiga 500, avec une machine dédiée :
- Le design fait honneur à l’Amiga 500, avec une version premium proposant un lecteur de disquette, pour réutiliser vos anciennes disquettes,
- La machine est épaulée par un processeur ARM, et dispose de connectique moderne avec les ports USB, sortie HDMI, … et lecteur SD pour des roms Amiga.
- L’Armiga émule l’OS de l’époque, le bien nommé AmigaOS, l’interface de commodore avec ses fenêtres.
Que vous utilisiez le lecteur de disquette (bon courage), ou une carte SD, vous allez pouvoir (re)découvrir les logiciels Amiga dans d’excellentes conditions sur votre grand écran, en activant par exemple des scanline (générateur de lignes pour émuler un écran cathodique). Ah hérésie ! Ou pas, pour certains rétrogameurs.
La machine Armiga est disponible à partir de 119€ depuis le shop de l’éditeur.
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